Est-ce qu’une astrologie est plus performante que l’autre ?
Il est vrai que l’astrologie sidérale se rapproche beaucoup plus des réalités astronomiques mais cela ne veut pas pour autant dire que l’astrologie occidentale n’est pas performante car étant fondée sur le principe des correspondances.
Bien que les cycles planétaires qui s’imbriquent ne puissent quasiment pas se reproduire en simultanée et reproduire du coup les mêmes événements à chaque reproduction du cycle, il arrive cependant qu’on trouve de nettes ressemblances symboliques et énergétiques. L’important étant de trouvé un référentiel capable de répondre aux attentes et de manière éclairée.
La concordance entre le vécu et le ressenti on fait la popularité de l’astrologie qui me permet aujourd’hui d’établir un lien entre la personnalité, le vécu et le caractère de mes clients surtout quand on aborde les prévisions et transits planétaires.
Pourquoi l’astrologie occidentale n’a pas intégrée le 13e signe du zodiaque ?
Par commodité de lecture, les fondateurs de l’astrologie ont choisi de diviser le calendrier en 12 constellations plutôt qu’en 13 qui ne permettent pas d’avoir un bon repérage des positions des astres errant et ainsi définir un bon référentiel applicable à l’astrologie.
Le signe zodiacal correspond au passage du soleil sur une des constellations au moment de la naissance, mais la position des autres planètes joue aussi un rôle déterminant pour une interprétation complète de notre thème astral correspondant à notre personnalité.
Ainsi la position de la Lune permet de définir notre sensibilité et nos émotions, Vénus sur notre façon de séduire et d’aimer, Mercure sur notre faculté à communiquer, notre mobilité, notre intelligence, nos capacité d’adaptation.
Conclusion
Tant d’arguments et de preuves pour éclaircir et mettre en évidence la pertinence et la véridicité de l’astrologie zodiacale. Il faut bien faire la distinction entre les deux astrologies et surtout bien choisir l’astrologie et le référentiel correspondant afin de mieux interpréter avec ses codes.
La relégation de Pluton au rang de planète naine en 2006, par des astronomes pour des raisons scientifiques valables, n’a pas pour autant rendu caduque sa symbolique construite depuis de longue date. Un bel exemple, concret, qui explique qu’il faut savoir séparer le sujet de l’objet. Astrologie n’est pas astronomie.
